Dans les modèles de dialogues, deux tendances s'affrontent. La plus ancienne préconise l'utilisation de structures partagées pour permettre le dialogue8.1. Il semble plus intéressant de ne partager aucune structure entre les deux agents afin de pouvoir modéliser un agent en tant qu'entité autonome. Cette deuxième approche se retrouve par exemple dans l'extension de la SDRT au dialogue par [Asher and Lascaride, 1995]. L'intérêt de partager des données était d'avoir une représentation de l'autre agent et de pouvoir l'utiliser. Ceci étant indispensable8.2 on a rajouté une représentation de l'autre agent directement dans les croyances de l'agent. Cela est en fait plus proche de la réalité. On ne peut pas partager des états mentaux, on peut simplement avoir des croyances sur les états mentaux de l'autre agent.